Comment nous avons obtenu une indemnisation augmentée de 350 000 € pour notre client
Les accidents de la circulation peuvent laisser des séquelles graves et durables. Monsieur T en a fait l’expérience après avoir subi un traumatisme crânien et une amputation suite à un accident de la route. Plusieurs années après les faits, il a fait appel à nous pour réévaluer son dossier, insatisfait de la première indemnisation obtenue. Grâce à notre expertise, nous avons pu augmenter son indemnisation de plus de 350 000 €, en réévaluant les préjudices subis.
Un accident aux conséquences graves
Monsieur T parti de Porto-Vecchio à scooter se rendait à Aleria, lorsqu’il a été violemment percuté par une voiture qui n’a pas respecté un panneau stop. Projeté à plus de dix mètres, il a subi des blessures majeures, incluant un traumatisme crânien et une fracture ouverte de la jambe, qui ont entraîné une amputation. Cet accident a bouleversé sa vie, limitant ses activités et affectant son autonomie.
Une première indemnisation insuffisante avant notre intervention
Après une première expertise médicale, une indemnisation avait été proposée, mais elle s’était avérée bien inférieure à ce que son préjudice justifiait réellement. Plusieurs années après l’accident, et insatisfait du résultat obtenu, Monsieur T a fait appel à nos services pour une réévaluation complète de son dossier.
Une aggravation reconnue et une réévaluation nécessaire
L’état de santé de Monsieur T a continué de se détériorer, tant sur le plan physique que psychologique. Il a développé des troubles auditifs (acouphènes), visuels et neuropsychologiques, qui n’avaient pas été correctement pris en compte lors de la première expertise. Notre équipe a travaillé en collaboration avec un médecin-conseil spécialisé, ce qui a permis d’identifier des déficits supplémentaires et de justifier une réévaluation de son indemnisation.
Réévaluation des postes de préjudice
Grâce à notre expertise, plusieurs postes de préjudice ont été revus à la hausse, aboutissant à une augmentation de plus de 350 000 € de l’indemnisation de Monsieur T :
• Déficit fonctionnel permanent (DFP) : L’évaluation initiale sous-estimait les déficits physiques et psychologiques. Nous avons pu obtenir une augmentation du taux de DFP en intégrant les nouveaux troubles identifiés.
• Assistance tierce personne : Initialement, Monsieur T avait refusé toute aide extérieure, estimant pouvoir rester autonome. Cependant, son état de santé nécessitant une assistance, nous avons obtenu une indemnisation pour la tierce personne qui l’aide désormais dans les tâches du quotidien.
• Frais de logement adapté et véhicule : La dégradation de sa mobilité a entraîné des besoins supplémentaires en matière d’aménagement du domicile et du véhicule, des frais qui n’avaient pas été suffisamment couverts lors de la première indemnisation. Nous avons obtenu une augmentation pour ces postes.
Une gestion rigoureuse au service de la victime
Monsieur T, pressé de finaliser son dossier, envisageait initialement de conclure rapidement un accord. Cependant, notre expérience nous a permis de le convaincre de patienter et de rassembler toutes les preuves nécessaires à une réévaluation complète de ses préjudices. Cette rigueur dans la gestion du dossier a permis d’obtenir une augmentation substantielle de son indemnisation, à hauteur de plus de 350 000 €, ce qui reflète désormais plus fidèlement l’impact de l’accident sur sa vie quotidienne.
Conclusion
La gestion d’un dossier de préjudices corporels graves, tels que le traumatisme crânien et l’amputation, demande une expertise technique approfondie et une anticipation des besoins futurs de la victime. Le cas de Monsieur T démontre qu’une première indemnisation peut s’avérer insuffisante face à l’évolution de l’état de santé. Grâce à notre intervention, Monsieur T a pu obtenir une indemnisation augmentée, garantissant ainsi une prise en charge plus juste et complète de ses besoins actuels et futurs.